Alain Juppé, un des favoris pour la primaire à droite, a vanté vendredi son « sang-froid » dans la réponse aux actes terroristes, rejetant l’« angélisme » comme la « surenchère », alors que Manuel Valls a reproché vendredi à Nicolas Sarkozy de « perdre ses nerfs ».
« Intransigeance et sang-froid » face au terrorisme, a prôné le maire de Bordeaux lors d’une conférence de presse à Paris, insistant : la réponse aux jihadistes « va demander beaucoup de sang-froid dans les mois qui viennent. »
L’ancien Premier ministre a rejeté tout « angélisme » : « l’État a la responsabilité de protéger les concitoyens ». « Pas de surenchère non plus », a-t-il poursuivi. « La Constitution doit être respectée », a dit le maire de Bordeaux en direction de la droite. « Entre ces deux principes, un équilibre doit être trouvé. »
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